(Samedi 25 avril)
(Mc 16, 5-20)
(Mc 16, 5-20)
Jésus ressuscité dit aux onze Apôtres :
« Allez dans le monde entier.
Proclamez la Bonne Nouvelle à toute la création.
Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ;
celui qui refusera de croire sera condamné.
Voici les signes qui accompagneront
ceux qui deviendront croyants :
en mon nom, ils chasseront les esprits mauvais ;
ils parleront un langage nouveau ;
ils prendront des serpents dans leurs mains,
et, s'ils boivent un poison mortel, il ne leur fera pas de mal ;
ils imposeront les mains aux malades,
et les malades s'en trouveront bien. »
Le Seigneur Jésus, après leur avoir parlé,
fut enlevé au ciel et s'assit à la droite de Dieu.
Quant à eux, ils s'en allèrent proclamer partout la Bonne Nouvelle.
Le Seigneur travaillait avec eux et confirmait la Parole
par les signes qui l'accompagnaient.
« Allez dans le monde entier.
Proclamez la Bonne Nouvelle à toute la création.
Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ;
celui qui refusera de croire sera condamné.
Voici les signes qui accompagneront
ceux qui deviendront croyants :
en mon nom, ils chasseront les esprits mauvais ;
ils parleront un langage nouveau ;
ils prendront des serpents dans leurs mains,
et, s'ils boivent un poison mortel, il ne leur fera pas de mal ;
ils imposeront les mains aux malades,
et les malades s'en trouveront bien. »
Le Seigneur Jésus, après leur avoir parlé,
fut enlevé au ciel et s'assit à la droite de Dieu.
Quant à eux, ils s'en allèrent proclamer partout la Bonne Nouvelle.
Le Seigneur travaillait avec eux et confirmait la Parole
par les signes qui l'accompagnaient.
Le chrétien est appelé à être missionnaire, témoin et porteur de la Bonne Nouvelle du Salut en Jésus-Christ. Le langage nouveau est celui de la foi et de cette certitude d'être "tant aimé de Dieu". Cette expérience le pousse à annoncer cet amour fou de Dieu pour tout être humain. Fou de la folie de la Croix et de la lumière de la Résurrection. Celui qui est baptisé est uni à vie à Jésus-Christ et en reçoit toute la lumière. Celui qui, en connaissance de cause, sachant que c'est le chemin, refuse cette intimité, cette amitié, ce compagnonnage, reste dans les ténèbres. Non que Dieu le veut, mais lui-même fait le choix d'y demeurer. C'est comme quelqu'un qui marchant dans la nuit refuserait la lampe qu'on lui offre pour avancer en sécurité. Dieu respecte ce choix même s'il le regrette et fera tout pour que celui-là se convertisse ... pour son bien. Désormais, depuis la Pentecôte, le Salut passe à travers l'Église - instituée par Jésus lui-même -, en particulier par les Sacrements, prolongement de son œuvre de libération et de guérison, de paix ... Le Christ qui librement a donné sa vie, rend libre au cœur même de l'adversité ... La tempête peut souffler, elle ne peut faire écrouler la maison bâtie sur le roc. Il est le "Roc" sur lequel on peut bâtir sa vie sans craindre les ouragans. (Mt 7, 24-25)