Mc 6, 53-56(Lundi 10 février)
Jésus et ses disciples,
ayant traversé le lac, abordèrent à Génésareth
et accostèrent.
Ils sortirent de la barque,
et aussitôt les gens reconnurent Jésus :
ils parcoururent toute la région,
et se mirent à transporter les malades sur des brancards
là où l'on apprenait sa présence.
Et dans tous les endroits où il était,
dans les villages, les villes ou les champs,
on déposait les infirmes sur les places.
Ils le suppliaient de leur laisser toucher
ne serait-ce que la frange de son manteau.
Et tous ceux qui la touchèrent
étaient sauvés.
Jésus et ses disciples,
ayant traversé le lac, abordèrent à Génésareth
et accostèrent.
Ils sortirent de la barque,
et aussitôt les gens reconnurent Jésus :
ils parcoururent toute la région,
et se mirent à transporter les malades sur des brancards
là où l'on apprenait sa présence.
Et dans tous les endroits où il était,
dans les villages, les villes ou les champs,
on déposait les infirmes sur les places.
Ils le suppliaient de leur laisser toucher
ne serait-ce que la frange de son manteau.
Et tous ceux qui la touchèrent
étaient sauvés.
Il
est beau de voir tous ces gens qui apportent les malades à Jésus et qui
supplient Jésus de les guérir. Nous-mêmes, nous devons désirer la
guérison de nos frères et soeurs malades et les déposer sur le cœur de
Jésus. La compassion de Jésus est immense et la grâce de guérison de
Jésus est toujours présente aujourd'hui dans son Église et il est un
Sacrement qui en est le signe : "Le Sacrement des malades" ... Cette
grâce est d'ailleurs également présente dans les autres Sacrements comme
le Baptême et l'Eucharistie ... Nous ne devons jamais oublier pour
autant que la guérison essentielle dont la guérison physique peut être
le témoignage, c'est la guérison intérieure, la guérison du cœur. Et de
celle-ci nous en avons tous besoin. Jésus a dit : "Je ne suis pas venu pour les bien-portants mais pour les malades ... pour les justes mais pour les pécheurs." (Mt 9, 13; Mc 2, 17) Ne
pas oublier que le péché est une maladie de l'âme plus grave que la
maladie du corps. Lorsqu'on amène à Jésus un paralytique, il commence
par lui remettre ses péchés avant de le guérir physiquement (Mc 2, 1-12) ...