Lc 9, 51-56
Mardi 28 septembre
Comme le temps approchait
où Jésus allait être enlevé de ce monde,
il prit avec courage la route de Jérusalem.
Il envoya des messagers devant lui ;
ceux-ci se mirent en route et entrèrent
dans un village de Samaritains pour préparer sa venue.
Mais on refusa de le recevoir,
parce qu'il se dirigeait vers Jérusalem.
Devant ce refus, les disciples Jacques et Jean intervinrent :
« Seigneur, veux-tu que nous ordonnions
que le feu tombe du ciel pour les détruire ? »
Mais Jésus se retourna et les interpella vivement.
Et ils partirent pour un autre village.
Mardi 28 septembre
Comme le temps approchait
où Jésus allait être enlevé de ce monde,
il prit avec courage la route de Jérusalem.
Il envoya des messagers devant lui ;
ceux-ci se mirent en route et entrèrent
dans un village de Samaritains pour préparer sa venue.
Mais on refusa de le recevoir,
parce qu'il se dirigeait vers Jérusalem.
Devant ce refus, les disciples Jacques et Jean intervinrent :
« Seigneur, veux-tu que nous ordonnions
que le feu tombe du ciel pour les détruire ? »
Mais Jésus se retourna et les interpella vivement.
Et ils partirent pour un autre village.
Les disciples Jacques et Jean ne sont pas encore du "Nouveau Testament", ils demeurent dans dans le "œil pour œil, dent pour dent". Il va leur falloir une conversion radicale. La représentation qu'ils se font de Dieu, n'est pas celle que Jésus révèle en sa Personne même : "Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous persécutent." Durs durs que ces paroles !
Écoutons la fin du testament que Christian De Chergé, martyr de Tibhirine, écrivit le 1er janvier 1994, deux ans avant sa mort : "Et toi aussi, l’ami de la dernière minute, (son meurtrier) qui n’auras pas su ce que tu faisais. Oui, pour toi aussi je le veux ce MERCI, et cet « À-DIEU » en-visagé de toi. Et qu’il nous soit donné de nous retrouver, larrons heureux, en paradis, s’il plaît à Dieu, notre Père à tous deux. Amen ! Inch’ Allah." Telle est la Bonne Nouvelle du Christ qui nous révèle les vraies pensées de Dieu qui ne sont pas à confondre avec les nôtres ...
Écoutons la fin du testament que Christian De Chergé, martyr de Tibhirine, écrivit le 1er janvier 1994, deux ans avant sa mort : "Et toi aussi, l’ami de la dernière minute, (son meurtrier) qui n’auras pas su ce que tu faisais. Oui, pour toi aussi je le veux ce MERCI, et cet « À-DIEU » en-visagé de toi. Et qu’il nous soit donné de nous retrouver, larrons heureux, en paradis, s’il plaît à Dieu, notre Père à tous deux. Amen ! Inch’ Allah." Telle est la Bonne Nouvelle du Christ qui nous révèle les vraies pensées de Dieu qui ne sont pas à confondre avec les nôtres ...
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